Les placements immobiliers groupés avec les agencements de défiscalisation, lorsqu’ils sont employés sans un minimum de discrétions, peuvent se changer en mauvais rêve pour les contribuables qui supposaient faire un investissement certain et lucratif.
Comment éviter les pièges
Vrais arnaques, assemblages aléatoire, plans immobiliers non durables économiquement, les risques sont abondant pour les contribuables qui perdront tout aussi bien leur argent mais qui seront en plus retrouvés par le fisc. Certains plans de défiscalisation sont spécialement exposés aux filouteries. En effet, plusieurs centaines de contribuables ont été les martyrs de sociétés promettant des profits juteuses mais qui décidément n’ont jamais tenu leurs promesses Ce procédé, assez dangereux, est couramment décrié et demande la plus haute attention surtout au niveau de l’aptitude des associations médiateurs et la nature des produits ou ils ont investi.
Au niveau de l’immobilier
Concernant principalement l’immobilier locatif ainsi que le credit immediat en ligne, les placements en Robien, Borloo, Scellier et actuellement Duflot peuvent aussi avoir leur coté négative. Leur procédure est simple. En effet faute de terrains vacants (ou inaccessibles) dans les zones tendus, un promoteur choisira un lieu plus excentré, allant jusqu’à prendre un terrain en rase campagne, pour construire. Les habitations dernièrement construits seront cédés à des coûts certes captivants, mais la sollicitation locative sera nulle. Pour faciliter leur vente, l’initiateur demandera les services d’une société de défiscalisation qui offrira ses prestations pour que les nouvelles acquéreurs ne s’aperçoivent pas ce qu’ils achètent ni l’environnement ou il a été bâti le plan immobilier. Attirés par les packages tout inclus que présentent ces sociétés (tel que la manière de s’en acquérir, l’assurance, les garanties pour les loyers impayés, etc.), les investisseurs pensent faire un bon placement dans un produit sûr sans être obligé de se déranger. Le seul danger est que ces derniers courent le risque d’être surfacturés, de ne pas trouver de preneurs, mais aussi d’oublier leur réduction d’impôt si le demeure n’est pas loué dans la première année.
Les placements en domiciles services nécessitent pareillement d’être traités avec précaution. En effet, les propriétaires ne donnent leur maison en location tant que le nouveau locataire ne verse un caution en guise de garantie.